Partie 1
Il s’agit d’un nouveau chapitre, on prend donc une nouvelle page du cahier et en rouge sur la première ligne de la page en taille normale on recopie le titre du chapitre 6.
M.RABIER
Chapitre 6: Nutrition et organisation des végétaux
Rappels:
Pour grandir, les êtres vivants fabriquent leur propre matière organique ;
Matière organique : matière fabriquée par les êtres vivants ;
Matière minérale : matière formée de substances non vivantes (roches, sels minéraux, eau, gaz).
Rappels:
Pour fabriquer leur propre matière organique, les animaux, contrairement à la plupart des végétaux, sont obligés de se nourrir d’autres êtres vivants, donc de matière organique.
Recopier en bleu (ou en noir) l’introduction, puis en vert la problématique, puis en rouge le titre du I/ et enfin en bleu (ou en noir) le titre de l’activité 1.
M.RABIER
Introduction :
Comme tous les êtres vivants, les végétaux sont des producteurs de matière. Ils produisent leur propre matière organique à partir de ce qu’ils prélèvent dans le milieu (matière minérale) : de l’eau ; des sels minéraux ; du dioxyde de carbone.
Problématique :
Comment les végétaux transforment-ils la matière d’origine minérale en matière organique ?
I/ La production de matière par les feuilles des végétaux verts
Activité 1 : La production de matière organique
Problème :
Comment les végétaux fabriquent-ils la matière organique nécessaire à leur croissance?
Consigne 1 : Recopier en vert, le problème ci-dessus sur votre cahier.
Le but de l’activité est de comprendre quels sont les besoins des végétaux afin que ces derniers puissent assurer leur croissance.
Pour cela nous allons mettre en place quelques expériences.
Recopier en bleu (ou en noir) le titre de la partie 1 ci-dessous.
M.RABIER
Partie 1 : Des besoins en dioxyde de carbone
Des feuilles de Pélargonium (communément appelé Géranium) sont placées dans deux sacs transparents où l’air est mis en circulation grâce à une pompe d’aquarium. L’air ambiant circule dans le sac 1 ; on débarrasse l’air ambiant du sac 2 de son dioxyde de carbone par barbotage dans une solution de potasse comme l’indique le dispositif expérimental sur le schéma suivant.
Après avoir fait fonctionner l’expérience précédente pendant une journée avec un éclairage constant, une feuille de chacun des sacs est traitée comme le montrent les explications suivantes :
1.Traitement à l’eau bouillante ;
2.Traitement à l’alcool bouillant ;
3.Immersion dans le Lugol (ou eau iodée) qui colore uniquement la molécule d’amidon (sucre) en bleu violacé sombre.
Les résultats obtenus sont les suivants.
Rappel: le Lugol (ou eau iodée) colore l’amidon (sucre) en bleu violacé sombre.
Consigne 2 : Associer les deux résultats de l’expérience à la bonne justification scientifique.
Consigne 3 : Dire, à partir de l’expérience précédente, de quoi ont besoin les feuilles pour fabriquer de l’amidon.
Recopier en bleu (ou en noir) le titre de la partie 2 ci-dessous.
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Partie 2 : Des besoins en lumière
Dans l’expérience présentée ci-dessus, on place deux caches noirs sur deux feuilles de Pélargonium distinctes. L’une des deux est totalement recouverte (feuille 1), alors que la seconde ne l’est que partiellement (feuille 2). La feuille 3 n’est pas du tout recouverte. On éclaire l’ensemble de la plante à l’aide d’une lampe de bureau.
On fait subir aux feuilles 1, 2 et 3 le même traitement que les deux feuilles dans la première partie de l’activité.
Les résultats obtenus pour les 3 feuilles sont les suivants.
Rappel: le Lugol (ou eau iodée) colore l’amidon (sucre) en bleu violacé sombre.
Consigne 4 : Associer les trois résultats de l’expérience à la bonne justification scientifique.
Consigne 5 : Dire, à partir de l’expérience précédente, de quoi ont besoin les feuilles pour fabriquer de l’amidon.
Recopier en bleu (ou en noir) le titre de la partie 3 ci-dessous.
M.RABIER
Partie 3 : Localisation de la production de matière organique
L’élodée du Canada est un végétal aquatique. Ses feuilles, particulièrement fines, constituent un matériel de choix pour observer leur structure au microscope.
Dans l’expérience réalisée, certaines feuilles ont été placées à la lumière et d’autres à l’obscurité.
Au microscope on observe des cellules d’élodée placées à la lumière et à l’obscurité, les deux observations sont identiques.
On fait subir à des feuilles d’élodée le même traitement que dans les deux parties précédentes de l’activité avec de l’eau iodée afin de mettre en évidence l’amidon contenu dans les cellules végétales. On observe ainsi des cellules placées à l’obscurité et d’autres à la lumière.
Comme dans toutes les cellules, on trouve dans les cellules d’élodée un noyau, une membrane (tour de la cellule) et un cytoplasme (intérieur de la cellule). Les cellules végétales sont délimitées par une paroi rigide. Dans les parties vertes de la plante, le cytoplasme contient des « petits compartiments verts » appelés chloroplastes.
Consigne 6 : A partir du texte (et surtout des mots en gras) et de l’observation microscopique précédente, replacer les légendes sur le schéma d’une cellule d’élodée ci-dessous.
Consigne 7 : Compléter le schéma suivant à l’aide des mots qui conviennent en cliquant sur les petits points rouges.
Recopier le schéma simplifié (ou l’imprimer en cliquant sur le lien en dessous du schéma) suivant et le compléter grâce à celui que vous venez de compléter précédemment.
M.RABIER
Compléter le cours suivant puis le recopier en rouge.
M.RABIER
Fin du cours pour aujourd’hui !
Vous devez me déposer une photo de votre cahier sur l’ENT.
ATTENTION JE NE VEUX PAS DE MAIL !
M.RABIER
