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Correction activité 1

Activité 1 : Prévenir une infection par la vaccination

Question 1 : Tracer le graphique (au crayon à papier et à la règle)  représentant le nombre de lymphocytes B anti-GRM en fonction du temps pour le lot de souris A.

(Aide : le nombre de lymphocytes B est a placé sur l’axe des ordonnées, l’axe vertical, et le temps sur l’axe des abscisses, l’axe horizontal)

(Aide 2 : pour le nombre de lymphocytes choisissez une échelle adaptée, par exemple 1 carreau = 100 lymphocytes B)

Voila à quoi doit ressembler normalement votre graphique:

Question 2 : Effectuer un constat sur la différence de temps de réaction de l’organisme entre la 1ère et la 2ème injection de l’antigène GRM, pour le lot de souris A.

La première injection de GRM a été effectué au début de l’expérience (0 min) et on constate le maximum de lymphocyte B au bout de 6 jours, alors que la deuxième injection a eu lieu au 30ème jour et le pic de lymphocyte B le 34ème jour, soit seulement 4 jours après l’injection. On constate donc que lorsque le corps rencontre pour la première fois un antigène la réponse est plus longue.

Question 3 : En changeant de couleur, ajouter sur le graphique de la question 1 le nombre de lymphocytes B anti-GRL pour le lot de souris B.

Voila à quoi devrait maintenant ressembler votre graphique:

Question 4 : Dire ce que nous apprend l’expérience 2 sur le mode d’action des lymphocytes B (=rappel du chapitre 2).

Au début de l’expérience 2 on a injecté du GRM aux souris du lot B puis à 30 jours du GRL. On constate que lors de l’injection de GRL la réponse est longue (6 jours) et peu importante puisqu’il n’y a pas beaucoup de lymphocytes B. Les lymphocytes B ont donc une action spécifique, c’est à dire qu’ils ne peuvent reconnaître qu’un seul type d’antigène.

Question 5 : Ces expériences mettent en évidence ce que l’on appelle la mémoire immunitaire. Citer le procédé médical qui utilise ce phénomène.

Il s’agit tout simplement du vaccin. La vaccination consiste à injecter volontairement dans le corps un micro-organisme pathogène mais désactivé, c’est à dire qui n’entraînera pas de maladie. On cherche simplement à déclencher une réponse du corps afin que celui ci soit capable de répondre plus rapidement et de manière plus importante en cas de contact avec le vrai micro-organisme.